Intox : nom féminin. Action insidieuse sur les esprits, tendant à accréditer certaines opinions, à démoraliser, à affaiblir le sens critique…
Bien entendu, le Châteauroux basket club ne doit pas l'ensemble de son succès à cela, mais cela y a contribué. Et ce n'est pas Bertrand Masson, Julien Dupont ou le public de Valère Fourneau, entre autres, qui diront le contraire. Jouer l'intox n'a rien de péjoratif et dans un match comme celui de Saint-Nazaire, ce domaine a été exploité à l'envie. Jusqu'à ce que le pivot nazairien Mamadou Cissé craque, en fait, et récolte sa cinquième faute avant même la demi-heure de jeu.Tout cela est le fruit d'un travail de longue haleine. D'un moral à toute épreuve dû à des performances de haute volée depuis septembre.
« Cette équipe grandit de jour en jour. Elle sait où il faut jouer. Elle a un mental de psychopathe ! » Reconnaissable entre mille, la patte de Nicolas Maillot traduit l'ambiance qui règne dans les rangs du CBC.
La position actuelle du club est inattendue certes, mais tellement méritée sur le parquet. « Puisque nous sommes promus, on ne s'attendait pas à arriver là. Mais on mérite notre place au vu de la phase aller », souligne Alain Rajsavong.
« Avec sa sagesse légendaire, Bertrand (Masson) nous disait que l'on avait notre place à ce niveau. Le premier match (à Avrillé) nous a mis en confiance et de match en match, on a confirmé », poursuit Lamy. Mais le secret de la réussite actuelle repose avant tout dans les liens qui unissent les joueurs. « C'est de plus en plus solide au niveau social, et ça se ressent sur le terrain. Il y a une émulation collective. » Alain Rajsavong parle bien. Il est également conscient que le retour va être plus tendu. L'effet de surprise passé, le CBC va être attendu au coin du bois. Pour assurer le maintien, il faudra se concentrer sur les rencontres à domicile. « Parce que je voudrais que les adversaires se disent qu'il n'est pas facile de venir gagner à Valère Fourneau », avait prévenu Maillot avant la venue de Saint-Nazaire.
Pour le président Augé, pas de doute, le public jouera son rôle à fond : « Ça fait super-plaisir de voir ce monde. C'est une ambiance particulière. » Ceux qui suivent le CBC pariaient pourtant sur un tel début et un tel engagement sur le terrain. Un seul n'était pas dans cette logique : Julien Obouh Fégué.
Alain Rajsavong :
“ Une émulation
collective
sur le terrain ”
« Je m'attendais à jouer plus “ playground ”, c'est-à-dire un jeu pas structuré. Plus ça va, Plus c'est structuré. Il y a un bon collectif. » « Jof » a pu s'en rendre compte face aux Nazairiens. Étouffé par les grands gabarits visiteurs ce samedi, il a été contraint de cirer le banc plus que de raison, sans pour autant voir ses coéquipiers à la peine. C'est à partir de sa sortie que le CBC a enfin pris ses aises en adoptant une nouvelle tactique. Une attitude rejoignant les propos du coach : « Rien n'est plus important que l'équipe. C'est ce qui nous fait monter dans les tours. » Jusqu'à la N2 ? On nous assure que non. Seulement l'année prochaine. Si l'occasion se présente. Info ou intox ?
Correspondant NR, Brice Degay.
8 commentaires:
Quelle rhétorique, quel style ce Divine !!!
C'est pas pour en rajouter mais elle prend de bonnes photos Annette...
Annette et pourquoi pas Manou ! elle est juste venues dans les vestiaires et toi, tu es déjà familier avec la jeune fille ! elle est belle la France !
Allez, pas de chichi ! La prochaine fois c'est la bise à Manou !
La rhétorique est à la fois la science (au sens d'étude structurée) et l'art (au sens de pratique reposant sur un savoir éprouvé) qui se rapporte à l'action du discours sur les esprits. Par principe, la rhétorique s'occupe de l'oral, mais il est évident qu'elle s'est très tôt intéressée aussi au discours écrit, dans la mesure où celui-ci est, de manière plus ou moins étroite, une transcription ou une mimésis de l'oral.
wikipedia.fr
En gros (comme ta tête) t'es qu'une grande gueule !
Non non on dit LE Rupella...
ça y es ma divine tu as desoulé...
Alors ce coude ça va mieux....
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