Je crois qu'après lecture, Nicolas est obligé de gagner à la Rochelle sinon il va y avoir de "la taille".
30 novembre 2006
29 novembre 2006
Et de huit pour le CBC...
Bourgueil : 73 CBC (2) : 83
Quart-temps : 18-25, 17-16, 20-17, 18-25.
Arbitre, MM. Vandebroucke et Simonneau.
CBC : Dudefant N. (11), Dudefant T. (6), Mazur, Saout (9), Oblique (2), Faure (2), Guignard (23), Dupont (23), Roy (4), Rivière (3).
19 fautes personnelles.
Les réservistes castelroussins s'attendaient à une partie rude en Touraine. Ils n'ont pas été déçus, même s'ils ont signé un huitième succès consécutif en autant de matchs. « Ça a été une guerre de tranchée comme je l'avais annoncé, soulignait Julien Perrot. On sait que nous sommes attendus partout où l'on se déplace. On s'est fait matraquer et ça ne ressemblait pas forcément à du basket. C'est dommage. Mais on a été solide pour répondre. » Ce qui n'a pas empêché Julien Dupont d'être victime d'une agression caractérisée de la part du capitaine-entraîneur adverse, disqualifié par les arbitres.
« L'essentiel, c'est d'avoir su être bon en tout début de match et d'avoir accéléré en début de dernier quart-temps. Guignard et Dupont nous ont fait un bien fou. Maintenant, l'équipe est en pleine maturité. »
Bourgueil : 73 CBC (2) : 83
Quart-temps : 18-25, 17-16, 20-17, 18-25.
Arbitre, MM. Vandebroucke et Simonneau.
CBC : Dudefant N. (11), Dudefant T. (6), Mazur, Saout (9), Oblique (2), Faure (2), Guignard (23), Dupont (23), Roy (4), Rivière (3).
19 fautes personnelles.
Les réservistes castelroussins s'attendaient à une partie rude en Touraine. Ils n'ont pas été déçus, même s'ils ont signé un huitième succès consécutif en autant de matchs. « Ça a été une guerre de tranchée comme je l'avais annoncé, soulignait Julien Perrot. On sait que nous sommes attendus partout où l'on se déplace. On s'est fait matraquer et ça ne ressemblait pas forcément à du basket. C'est dommage. Mais on a été solide pour répondre. » Ce qui n'a pas empêché Julien Dupont d'être victime d'une agression caractérisée de la part du capitaine-entraîneur adverse, disqualifié par les arbitres.
« L'essentiel, c'est d'avoir su être bon en tout début de match et d'avoir accéléré en début de dernier quart-temps. Guignard et Dupont nous ont fait un bien fou. Maintenant, l'équipe est en pleine maturité. »
28 novembre 2006
27 novembre 2006
26 novembre 2006
Flash back de la 8e journée
Luçon Basket Club 89–82 Châteauroux Basket Club
Match important pour les deux équipes, Luçon pour préserver sa première place et son invincibilité à domicile et Châteauroux pour continuer sur sa lancée qui les voit à une belle troisième place avec seulement deux défaites contre Rezé et Basse Indre. Les luçonnais étaient prévenus, les visiteurs étaient annoncés athlétiques et avec une grosse activité défensive. Les nombreux supporteurs présents au match pourront confirmer.
D’entrée les castelroussins mettent la pression sur le porteur du ballon, provoquent des pertes de balle et prennent nettement les devants (0-8, 4’). Le coach luçonnais rectifie rapidement le tir et, à leur tour, les locaux s’impose en défense et par une série de tirs extérieurs reviennent et débordent les visiteurs dépassés (7-8, 5’ ; 12-8, 6’ ; 20-10, 6’ !). Puis le jeu s’équilibre et cet écart se maintien jusqu’à la pause (26-16, 10’).
Dans le deuxième quart temps, les équipiers de Defoundoux (6/6 aux lancers dans ce quart temps et 10/10 au total !) provoquent les luçonnais à l’intérieur et, quand ils ne marquent pas, obtiennent de nombreux lancers. Les partenaires de Barthélémy continuent à perdre des ballons (6 dans le quart temps et 25 au total !) bien imités par leurs adversaires heureusement (8 et 25 au total également !) Quelques rebonds offensifs permettent aux luçonnais de limiter les dégâts et à la mi temps tout reste à faire (45-40, 20’).
Châteauroux reviens le couteau entre les dents et en deux minutes fond sur Luçon et passe devant (45-47, 22’). Encore une fois, à la suite de son capitaine, les luçonnais vont revenir par des paniers intérieurs et une excellente réussite à trois points (3/3 dans ce quart temps et 6/13 à la fin du 3ème). La fin du quart temps est tout à l’avantage des locaux qui provoquent de nombreuses fautes (9/10 aux lancers) et creuse un écart intéressant (73-59, 30’).
Mais les joueurs de Maillot ne baissent jamais les bras, serrent la défense et vont provoquer de nombreuses fautes à l’intérieur. Luçon, maladroit à la périphérie cette fois (1/9 à 3pts), ne peut que constater le retour de Châteauroux (82-70, 35’). Heureusement, quelques rebonds offensifs permettrons aux locaux de conserver une marge que les visiteurs ont contesté jusqu’à la fin (86-80, 39’ ; 89-82, 40’).
Le coach luçonnais retenait la victoire. « On bricole un peu en ce moment entre la fatigue et les blessés. » Victoire importante face à une belle équipe castelroussine qui en fera tomber plus d’un, à domicile en particulier. Avec St Nazaire, qui surprend encore en allant gagner à Challans, voici deux équipes qui vont sans doute perturber le classement du haut de tableau.
Fiche technique : 26-16, 19-24, 28-19, 26-23
Luçon : Bocquier 11, Polan-Lafages 6, Bonneau 21, Barthélémy 22, Tessier 12, Davrain 6, Babin 11.
Châteauroux : Lamy 10, Verdon 4, Masson 16, Vaz 8, Obouh-Fégué 15, Defoundoux 17, Daville 4, Demeautis 8.
Par Levas, correspondant BasketMag
CBC - Saint-Macaire 99 / 65 Point-average soigné pour Chateauroux
Le CBC étant équipe à avancer à grand coup d'objectifs, la réception de Saint-Macaire était prise très au sérieux. Quand bien même les visiteurs arrivaient amoindris.En cas de succès hier soir, les Castelroussins remplissaient en tout cas avant l'heure la mission fixée par Nicolas Maillot, à savoir gagner quatre matchs sur une série de six. Sauf que l'affiche du jour portait le numéro 5. C'est dire le rythme tenu par le CBC.
Une fois réglés quelques problèmes de communication en attaque, Châteauroux partait à l'assaut de la citadelle macairoise avec une belle envie. Peut-être trop au vu des ballons rendus à l'adversaire. Mais en s'appuyant sur sa tour de contrôle (Obouh Fégué), puis en laissant à Rajsavong le soin de creuser l'écart en deux temps (17-7, 27-19), le CBC prenait rapidement la mesure de son vis-à-vis.
L'entrée en piste de Vaz dans le deuxième quart temps avait le don d'annihiler encore un peu plus les intentions visiteuses, engluées dans la défense locale. Pour autant, la copie rendue à la mi-temps n'atteignait pas les sommets espérés ; tout du moins ceux entrevus à Valère Fourneau lors de précédentes sorties. A moins que le faible niveau développé par les Macairois n'incite les locaux à se mettre au niveau.
Trois interceptions de Masson, un panier primé de Vaz au buzzer et quelques coups d'éclat de Niasse dans et hors de la raquette finissaient d'écœurer les joueurs de Clément Lebourg, menés de plus de quarante points dans le troisième quart temps (87-43). Autant dire qu'une gestion « pépère » dans la dernière ligne droite suffisait pour que le CBC s'assure une tranquille victoire.Au vrai, la pression retombait totalement chez les Berrichons, devenus simples spectateurs du regain de forme macairois. Gaboriau et Joreau imposaient alors un 10-0 qui n'avait pas l'heur de réveiller les instincts castelroussins. Vaz appliquait toutefois une piqûre de rappel pour juguler tout retour intempestif. Il n'aura manqué qu'un point pour atteindre la barre fatidique du 100 à la marque.
Nicolas Tavarès
25 novembre 2006
Basket / Nationale 3
Dupont, intérieur dur au coeur tendre (25/11/2006)
Revenu au club cet été par la petite porte, Julien Dupont fait peu à peu sa place au sein de l'effectif N3 du CBC. S'imposant aussi bien dans la raquette qu'en dehors du terrain, car ce grand gars aux allures un peu frustres se révèle très attachant.
Interrogé à son sujet, Nicolas Maillot ne cache d'ailleurs pas sa surprise devant le travail effectué par son intérieur : « Julien est arrivé au club un peu comme un cheveu sur la soupe. Au début de la saison, il ne devait pas faire partie de mon groupe. Et finalement, cela m'offre une très belle rotation à l'intérieur. En quelques mots, il est investi, combatif et guerrier. Et même s'il fait parfois une connerie, il arrive toujours à mettre de l'intensité physique. En plus, c'est quelqu'un qui accepte la critique et il progresse de match en match. Il n'est pas arrivé à terme, il manque un peu de régularité mais il a gagné en maturité. »
Fermez le ban ! Le grand gaillard, serait capable de rougir, en esquissant un petit sourire gêné. Car derrière sa hargne affichée dans la raquette, derrière l'image du combattant, se cache un jeune homme de 22 ans qui marche à l'affectif. Son parcours le démontre. Le natif de Berck-sur-Mer est en effet arrivé à l'Entente de Châteauroux à l'âge de 9 ans, après un passage par Dieppe et Fécamp. Clin d'œil : son père, Thierry, et son oncle évoluaient à l'époque sous les couleurs castelroussines en… N3 avec Thierry Obouh-Fégué (le père de Julien) comme partenaire !
Marqué par ces souvenirs d'enfance, Julien Dupont considère donc le CBC comme sa famille. Celle qu'on ne peut pas quitter. Ou alors très brièvement pour y revenir se réfugier au plus vite.La preuve, son passage par la JDA Dijon n'a duré que deux saisons. « J'avais signé là-bas en contrat d'apprentissage pour passer mon Brevet d'État d'éducateur sportif (qu'il espère finaliser cette année). J'y jouais en Régionale mais les joueurs se comportaient vraiment en consommateurs. Ils venaient, ils jouaient, ils partaient… Le contexte convivial du CBC me manquait. J'avais déjà joué avec la plupart des gars en catégorie jeunes. Je suis donc revenu. » Discrètement, mais accueilli avec chaleur. « Tout le monde m'a pris avec mes défauts et mes qualités, en m'aidant. » De quoi se remettre en confiance et retrouver toutes ses sensations. « Je me bats toujours et je suis donc très fier d'avoir récupéré ma place à l'entraînement. » Heureux aussi du début de saison du CBC. « En tant que promus, on ne nous attendait pas là, analyse celui qui coache désormais les minimes Région du club. A nous de continuer à travailler parce que les équipes nous connaissent désormais et nous ne bénéficierons plus de l'effet de surprise. » Un discours qui ne peut que satisfaire Nicolas Maillot…
Dupont, intérieur dur au coeur tendre (25/11/2006)
Revenu au club cet été par la petite porte, Julien Dupont fait peu à peu sa place au sein de l'effectif N3 du CBC. S'imposant aussi bien dans la raquette qu'en dehors du terrain, car ce grand gars aux allures un peu frustres se révèle très attachant.
Interrogé à son sujet, Nicolas Maillot ne cache d'ailleurs pas sa surprise devant le travail effectué par son intérieur : « Julien est arrivé au club un peu comme un cheveu sur la soupe. Au début de la saison, il ne devait pas faire partie de mon groupe. Et finalement, cela m'offre une très belle rotation à l'intérieur. En quelques mots, il est investi, combatif et guerrier. Et même s'il fait parfois une connerie, il arrive toujours à mettre de l'intensité physique. En plus, c'est quelqu'un qui accepte la critique et il progresse de match en match. Il n'est pas arrivé à terme, il manque un peu de régularité mais il a gagné en maturité. »
Fermez le ban ! Le grand gaillard, serait capable de rougir, en esquissant un petit sourire gêné. Car derrière sa hargne affichée dans la raquette, derrière l'image du combattant, se cache un jeune homme de 22 ans qui marche à l'affectif. Son parcours le démontre. Le natif de Berck-sur-Mer est en effet arrivé à l'Entente de Châteauroux à l'âge de 9 ans, après un passage par Dieppe et Fécamp. Clin d'œil : son père, Thierry, et son oncle évoluaient à l'époque sous les couleurs castelroussines en… N3 avec Thierry Obouh-Fégué (le père de Julien) comme partenaire !
Marqué par ces souvenirs d'enfance, Julien Dupont considère donc le CBC comme sa famille. Celle qu'on ne peut pas quitter. Ou alors très brièvement pour y revenir se réfugier au plus vite.La preuve, son passage par la JDA Dijon n'a duré que deux saisons. « J'avais signé là-bas en contrat d'apprentissage pour passer mon Brevet d'État d'éducateur sportif (qu'il espère finaliser cette année). J'y jouais en Régionale mais les joueurs se comportaient vraiment en consommateurs. Ils venaient, ils jouaient, ils partaient… Le contexte convivial du CBC me manquait. J'avais déjà joué avec la plupart des gars en catégorie jeunes. Je suis donc revenu. » Discrètement, mais accueilli avec chaleur. « Tout le monde m'a pris avec mes défauts et mes qualités, en m'aidant. » De quoi se remettre en confiance et retrouver toutes ses sensations. « Je me bats toujours et je suis donc très fier d'avoir récupéré ma place à l'entraînement. » Heureux aussi du début de saison du CBC. « En tant que promus, on ne nous attendait pas là, analyse celui qui coache désormais les minimes Région du club. A nous de continuer à travailler parce que les équipes nous connaissent désormais et nous ne bénéficierons plus de l'effet de surprise. » Un discours qui ne peut que satisfaire Nicolas Maillot…
Frédéric LAUNAY
24 novembre 2006
23 novembre 2006
21 novembre 2006
Amboise : 79 CBC (2) : 95
Quarts-temps : 16-25, 22-22, 22-19, 22-28.
Arbitres, MM. Gueuel et Poncreach.
CBC (2) : Guignard (19), Dudefant N. (15), Dupont (13), Rivière (13), Dudefant T. (11), Roy (10), Saout (7), Faure (5), Breuillaud (2).
Le CBC a remporté un véritable match de catch ! Amboise ayant réalisé 39 fautes, difficile de faire du travail propre. Pourtant, les hommes de Julien Perrot ont su rester dignes. « On a su rester intelligent, calme et posé » souligne coach Perrot. Avec une défense tout-terrain pendant les deux heures qu'a duré la rencontre, Amboise n'a pas stoppé la marche en avant des Castelroussins toujours invaincus
Quarts-temps : 16-25, 22-22, 22-19, 22-28.
Arbitres, MM. Gueuel et Poncreach.
CBC (2) : Guignard (19), Dudefant N. (15), Dupont (13), Rivière (13), Dudefant T. (11), Roy (10), Saout (7), Faure (5), Breuillaud (2).
Le CBC a remporté un véritable match de catch ! Amboise ayant réalisé 39 fautes, difficile de faire du travail propre. Pourtant, les hommes de Julien Perrot ont su rester dignes. « On a su rester intelligent, calme et posé » souligne coach Perrot. Avec une défense tout-terrain pendant les deux heures qu'a duré la rencontre, Amboise n'a pas stoppé la marche en avant des Castelroussins toujours invaincus
20 novembre 2006
18 novembre 2006
17 novembre 2006
16 novembre 2006
SDF
N'ayant plus de domicile fixe et donc plus d'accès à internet, je soussigné Shaolin, demeurant chez ma mère, nie toute responsabilité quant aux contenus (très très rigolos !) des précédents messages.
Messieurs les hénériens, veuillez adresser vos represailles à mon premier secrétaire et reste à votre disposition pour vous fournir qq photos du sus-dit secrétaire.
A vous tous d'ailleurs d'alimenter ce blog car je ne retrouverai un logement qu'après la saison froide...
Messieurs les hénériens, veuillez adresser vos represailles à mon premier secrétaire et reste à votre disposition pour vous fournir qq photos du sus-dit secrétaire.
A vous tous d'ailleurs d'alimenter ce blog car je ne retrouverai un logement qu'après la saison froide...
Shaolin for CBCblogNews
14 novembre 2006
13 novembre 2006
Je l'ai retrouvé ...!!!
Le néo-Berruyer Philippe Bwanandeke (15 points) a apporté de la puissance dans la raquette, mais Gien était trop fort.
EXCELLENCE MASCULINE
CS Bourges : 51 Gien : 82
Quart-temps : 12-12, 10-22 (22-34), 10-23, 19-25.
Arbitres : MM. Courbé et Baufrère.
CS Bourges : Pietrak, 9 ; Pommier, 1 ; Delory, 6 ; Lauru, 5 ; Bonnan, 11 ; Bwanandeke, 15 ; N'Diaye, 4.
Gien : Giron, 9 ; Deroin, 3 ; Tindellere, 6 ; Michet, 14 ; Diop, 25 ; Vallein, 3.
Il n'y a pas eu de miracle, hier après-midi, au gymnase Ladoumègue. Gien, leader de la poule, au potentiel physique et technique largement supérieur au CS Bourges, s'est imposé avec une confortable avance au tableau d'affichage (51-82). Les Berruyers n'ont pourtant pas démérité, faisant jeu égal avec l'équipe du Loiret lors du premier quart d'heure (16-17, 15e), grâce à une belle combativité et… aux nombreux déchets des visiteurs. Mais au fil des minutes, Gien allait retrouver son basket et le CSB payait cher les choses faciles ratées (pertes de balles et tirs dessous). Un 13-0 pour Gien mettait ainsi fin au suspense à la pause (22-34), malgré l'entrée remarquée de Philippe Bwanandeke (15 points), nouvelle recrue berruyère, à la fois puissant et percutant. Entre la 25e et la 32e, le CSB prenait définitivement l'eau après avoir encaissé un sévère 29 à 4 (32-67) ! Gien se régalait alors sur jeu rapide, à l'image de l'aérien Diop (25 points).Le CSB stoppera l'hémorragie en fin de match, en vain.
11 novembre 2006
09 novembre 2006
08 novembre 2006
07 novembre 2006
06 novembre 2006
Le CBC aligne sa quatrième victoire de rang (06/11/2006)
En smashant après quatre secondes de jeu seulement, Déméautis avait donné le ton : les Castelroussins n'avaient pas l'intention de se laisser marcher sur leur basket par Challans.
CBC : 98 Challans : 68
Très agressifs en défense, efficaces dans tous les secteurs de jeu, ils prirent rapidement l'ascendant sur des Vendéens débordés, prélude à une soirée digne d'un gala. Mené 6-0, Challans dû patienter plus de trois minutes pour inscrire ses premiers points, et fit illusion un instant (6-7, 5e). Un instant seulement. Car les Castelroussins, rentrés de plain-pied dans la partie, multiplièrent les exploits et assurèrent le spectacle.
Adossés à une redoutable défense, ils enchaînèrent contres, interceptions et rebonds offensifs comme défensifs.« On voulait isoler les deux trois joueurs les plus expérimentés dès le départ, pour obliger les plus jeunes à prendre les shoots, expliqua Nicolat Maillot. Ça nous a réussis. En plus on avait mis en place une défense tout terrain, un truc de guerrier, et ils ont pété les plombs. »
Challans, en dernier recours, s'appuya sur son adresse, notamment à trois points par l'intermédiaire de Petit, meilleur artilleur de la soirée côté visiteur, sans parvenir toutefois à enrayer la machine castelroussine. Le calvaire vendéen pouvait se poursuivre. Vaz sous les paniers et Obouh Fégué au-dessus, creusèrent impitoyablement l'écart. 16-11, 30-14, puis 45-28 à la mi-temps, jamais le CBC ne permit à son adversaire de respirer.Pertes de balles rapides, passages en force, retours en zone, antisportives, tout y passa pour les Vendéens, affaiblis qui plus est par la perte de deux joueurs sortis pour cinq fautes, dès la mi-temps.
Les Castelroussins, qui comptèrent jusqu'à 34 points d'avance au terme du troisième quart (76-42), emmenés par un Obouh Fégué des grands soirs, n'eurent plus qu'à dérouler et assurèrent une confortable victoire. « Je suis content parce que j'ai pu jouer quinze minutes avec le banc, tout le monde a participé », poursuivit Maillot. Et de conclure : « C'est bon signe pour la suite. Pourvu que ça dure… » Ce nouveau succès, le quatrième de rang, a ancré un peu plus solidement encore le CBC dans la première partie de tableau. Pas mal pour un promu…
Quart-temps : 25-11, 20-17, 31-14, 22-26. Arbitres, MM. Gauthier et Quief. Spectateurs : 350 environ.
Châteauroux : 29 LF sur 35 tentés. Obouh Fégué (33), Vaz (14 dont 1 panier à trois points), Déméautis (13), Dupont (13), Masson (8), Lamy (7 dont 1 panier à 3 pts), Deneux (6), Defoundoux (4), Davillé (2). 17 fautes personnelles.
Challans : 11 LF sur 16 tentés. Petit (15 dont 4 paniers à 3 pts), Franc (14), Meunier (9, dont 1 panier à trois points), Sarrazin (9 dont un panier à 3 pts), Vergne (8 dont 1 panier à 3 pts), Templier (5), Massé (5), Grimaud (4). 28 fautes personnelles. Deux joueurs éliminés : Baron et Templier.
CBC : 98 Challans : 68
Très agressifs en défense, efficaces dans tous les secteurs de jeu, ils prirent rapidement l'ascendant sur des Vendéens débordés, prélude à une soirée digne d'un gala. Mené 6-0, Challans dû patienter plus de trois minutes pour inscrire ses premiers points, et fit illusion un instant (6-7, 5e). Un instant seulement. Car les Castelroussins, rentrés de plain-pied dans la partie, multiplièrent les exploits et assurèrent le spectacle.
Adossés à une redoutable défense, ils enchaînèrent contres, interceptions et rebonds offensifs comme défensifs.« On voulait isoler les deux trois joueurs les plus expérimentés dès le départ, pour obliger les plus jeunes à prendre les shoots, expliqua Nicolat Maillot. Ça nous a réussis. En plus on avait mis en place une défense tout terrain, un truc de guerrier, et ils ont pété les plombs. »
Challans, en dernier recours, s'appuya sur son adresse, notamment à trois points par l'intermédiaire de Petit, meilleur artilleur de la soirée côté visiteur, sans parvenir toutefois à enrayer la machine castelroussine. Le calvaire vendéen pouvait se poursuivre. Vaz sous les paniers et Obouh Fégué au-dessus, creusèrent impitoyablement l'écart. 16-11, 30-14, puis 45-28 à la mi-temps, jamais le CBC ne permit à son adversaire de respirer.Pertes de balles rapides, passages en force, retours en zone, antisportives, tout y passa pour les Vendéens, affaiblis qui plus est par la perte de deux joueurs sortis pour cinq fautes, dès la mi-temps.
Les Castelroussins, qui comptèrent jusqu'à 34 points d'avance au terme du troisième quart (76-42), emmenés par un Obouh Fégué des grands soirs, n'eurent plus qu'à dérouler et assurèrent une confortable victoire. « Je suis content parce que j'ai pu jouer quinze minutes avec le banc, tout le monde a participé », poursuivit Maillot. Et de conclure : « C'est bon signe pour la suite. Pourvu que ça dure… » Ce nouveau succès, le quatrième de rang, a ancré un peu plus solidement encore le CBC dans la première partie de tableau. Pas mal pour un promu…
Quart-temps : 25-11, 20-17, 31-14, 22-26. Arbitres, MM. Gauthier et Quief. Spectateurs : 350 environ.
Châteauroux : 29 LF sur 35 tentés. Obouh Fégué (33), Vaz (14 dont 1 panier à trois points), Déméautis (13), Dupont (13), Masson (8), Lamy (7 dont 1 panier à 3 pts), Deneux (6), Defoundoux (4), Davillé (2). 17 fautes personnelles.
Challans : 11 LF sur 16 tentés. Petit (15 dont 4 paniers à 3 pts), Franc (14), Meunier (9, dont 1 panier à trois points), Sarrazin (9 dont un panier à 3 pts), Vergne (8 dont 1 panier à 3 pts), Templier (5), Massé (5), Grimaud (4). 28 fautes personnelles. Deux joueurs éliminés : Baron et Templier.
05 novembre 2006
Victoire 98 - 68 contre Challans
Bravo pour votre match samedi contre Challans les gars.
Du beau spectacle et une belle victoire à la maison devant une salle remplie à bloc.
Même si on perd le dernier quart-temps (...) le match était sympa à voir avec un 31-14 au 3e quart fatal.
Dédicace à toi Jof ainsi qu'aux trois lascars de la NR qui connaissent ce blog.
Patience messieurs, vous serez bientôt à l'honneur dans notre blog ;-)
Du beau spectacle et une belle victoire à la maison devant une salle remplie à bloc.
Même si on perd le dernier quart-temps (...) le match était sympa à voir avec un 31-14 au 3e quart fatal.
Dédicace à toi Jof ainsi qu'aux trois lascars de la NR qui connaissent ce blog.
Patience messieurs, vous serez bientôt à l'honneur dans notre blog ;-)
03 novembre 2006
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