Le nouveau club de basket a tenu son assemblée générale vendredi soir. Voici les principaux échos du CBB 36.
Un nouveau nom. Plusieurs noms avaient circulé concernant l'appellation du nouveau club né de la fusion entre la Berrichonne Basket et le Châteauroux Basket Club 36. Le CBBC semblait favori, mais c'est le CBB 36 qui l'a emporté. Le Châteauroux Berrichonne Basket 36 sera dirigé par
Éric Auger.
Jean-Claude Lepers, l'ancien président de la Berrichonne, enfilera le costume de vice-président (communication) en compagnie de
Nathalie Moreau (sportif) et de
Patrick Oblique (finances). Autre figure emblématique de la Berri,
Claudine Échard assurera le secrétariat.
Le Tarmac, terre de basket ? C'est en tout cas le souhait de
Pierre Bousquié. Présent vendredi en qualité de président du comité, il a émis le souhait d'organiser une manifestation sur le site déolois. Dans un délai de quatre ans, le Tarmac devrait donc accueillir une rencontre nationale, voir internationale…
Paul-Raveau en septembre. C'est le seul bémol de la saison qui vient de s'écouler. Le tournoi cher à
Nicolas Gallois avait dû être annulé, faute d'équipes. Mais ce n'est que partie remise puisqu'
Éric Auger assure qu'il aura lieu au mois de septembre.
Une première recrue. En marge de l'ultime assemblée du CBC 36 et de la première du CBB 36, le nouvel entraîneur de l'équipe première castelroussine,
Tony Mikic, est revenu sur les contours de sa future équipe. Hormis les départs programmés d'
Emmanuel Blévin (La Rochelle ?) et de
Yannick Déméautis (arrêt), personne ne quittera le navire berrichon. Au niveau des nouveaux arrivants, le nom de
Selim Ahmed est souvent cité et sa signature est quasi certaine. Meneur de jeu du CASB (Cheminots Amiens Sud Basket, excellence régionale),
Ahmed est depuis trois saisons un des meilleurs marqueurs de la ligue Picardie. Rien de mieux pour instaurer une saine concurrence à un poste qui ne manque pas de prétendants (
Lamy, Rajsavong, Pernoud). Niveau intérieur,
« on ne prendra pas quelqu'un pour prendre quelqu'un. Si nous ne trouvons rien, nous ne prendrons rien », conclut
Mikic.
Corr. NR, Brice Degay
