le blog du club de basket de Chateauroux avec son équipe fanion en N3 ainsi que ses 200 licenciés

30 janvier 2008

Le staïle !!!

Salut les gars, même de Vierzon je peux continuer d'animer le blog !!! ;)


...et depuis peu moi aussi j'ai le mien:
http://andre-vaz.blogspot.com


@+ à bientôt !!!
...et Joyeux anniversaire Alain !!!

23 janvier 2008

oh yeah !


Merci Nuno pour tes photos

Voici les miennes...

Escale à LANGEAIS :
sa rue pietonne,
son restau,
son chateau,
sa misère,

happy face

On perd malheureusement ce match retour contre Rezé, mais y'en a un qui gagne à coup sûr tous les week-end :
merci Rup pour la photo ;-)

C'est Nunette qui doit être contente...

notre envoyé spécial


Grâce à mon appareil photo à détection de playlist, voici après révélation dans la chambre noire un de mes meilleurs clichés de sénior Rup et son casque bling (un seul bling et ouai, ça viendra vieux ! sarko y est bien arrivé...)

Pour le champagne les Castelroussins repasseront (22/01/2008)


Pour s'en aller défier Rezé dans le choc
de la journée de championnat, le CBC avait mis les petits plats dans les grands. Récit d'un déplacement qui s'est terminé en queue de poisson.



Nous aurions voulu vous conter par le menu le périple victorieux du CBC à Rezé. Revenir sur cette halte concoctée par Bertrand Masson dans son fief de Langeais, à la mi-journée. Au Pont-Levis, l'hôtesse est accorte et le chinon gouleyant.
Insister, aussi, sur la joie de ces basketteurs redevenus gamins le temps de quelques saltos dans un château gonflable d'une aire d'autoroute sur les hauteurs d'Angers. Mais samedi soir, tout ne s'est pas vraiment passé comme les Castelroussins l'auraient souhaité.
Ce déplacement à Rezé, dans la banlieue nantaise, les basketteurs du CBC en avaient pourtant fait l'un des plus importants jalons de leur saison. Gagner là-bas et c'est la route vers la Nationale 2 qui se dégageait encore un peu. Perdre, c'était se compliquer considérablement la tâche. S'obliger à ne plus laisser filer le moindre point en chemin tout en espérant les faux pas d'adversaires directs. Rezé, évidemment. Mais aussi le PLLL Tours qu'il faudra aller défier dans dix jours. L'occasion était tellement belle, que toute la troupe avait été placée dans un cocon.
Un car flambant neuf, « pains choc' », croissants et cafés offerts par les dirigeants avant le départ. Et les mots d'encouragement du président Auger en prime. « Mettez une p… d'envie dans ce match et faites-vous plaisir ! » Des mots qui tranchaient avec le langage habituellement châtié d'Eric Auger. Le coup était à ce point jouable que Manu Blévin avait emporté une caisse de champagne qui patientait sagement dans la soute. Elle n'en est pas sorti…

Saucisson et bon médoc

La faute à ce passage à vide dans le troisième quart-temps. Et au bout du compte un gros coup de massue sur la caboche. Il a fallu du temps pour que les Castelroussins retrouvent le sourire. D'abord s'acheter un sandwich et une mousse pour faire couler le tout au bar du gymnase – c'est qu'à Rezé, on sait recevoir l'adversaire… –, puis monter dans le car pour un retour long, beaucoup trop long. « Moi, les gars, je me suis occupé de votre confort aujourd'hui » lâchera, un rien dépité, Patrick Oblique, le directeur sportif.
« Je m'étais dit que si on gagnait, on ouvrirait les bouteilles de champagne. Si on perdait, j'avais quand même prévu le saucisson avec un bon médoc. Vous comprendrez que le champagne, les gars, c'est niet ! » La convivialité en guise de consolation.
Manu Blévin et Mayika Defoundoux ne toucheront pas à la «charcutaille». Pour eux, la défaite n'est pas passée. Et le grand Mayika de pester : « On n'est pas prêts. Non, on n'est pas prêts… » De refaire surtout le match de long en large avec Manu pendant que Patrick Oblique tente désespérément de dérider l'assistance en présentant quelques montages « Power point » qui font, en temps normal, un véritable tabac.
Les rires n'étaient pas forcés, mais presque. Et finalement, c'est dans un sommeil sans confort que certains ont préféré se plonger en attendant Châteauroux. Ils auraient tant voulu vivre ces retours animés qui n'appartiennent qu'aux vainqueurs.


Nicolas TAVARÈS

périple Rézéen

bon la mise en page c'est pas ça ...














Les Ricains du CBC














Les frères pétards au ravitaillement




un paparazzi Rézéen planqué espionne les berrichons



















Pat 2 velours façon sex prêt à sauter sur sa proie



















Rézé arena















Le premier club house de Bertrand

















Quand on arrive en ville
Tout l'monde change de trottoir
On n'a pas l'air viril
Mais on fait peur à voir.....

















Langeais 2mn d'arrêt


















Restaurant à Langeais






















REZÉ - CBC : 90-76

Les Castelroussins chutent en Loire-Atlantique

SUJET A CAUTION (20/01/2008)

De notre envoyé spécial

Il avait pourtant prévenu ses joueurs, Nicolas Maillot : « On est en terrain hostile, ici. En terme d'arbitrage, d'abord… » Une sentence dont on mesura la mesure quarante minutes plus tard. Quarante minutes pendant lesquelles le CBC passa par toutes les couleurs. Mais entre le coup d'envoi et la victoire rezéenne qui efface la défaite de sept points au match aller, il y eut une cascade de fautes, l'élimination de cinq joueurs (dont Masson et Rajsavong) et une énorme faute de la table de marque dans le troisième quart temps, quand les visiteurs menaient encore 56-43.
A ce moment-là, au lieu d'attribuer deux points aux Castelroussins, les officiels les donnèrent tout simplement aux locaux. Le CBC en sortit tout chamboulé, dès lors incapable de réagir sous les coups de boutoirs de Granier et Djurdevic. Rezé pouvait alors rejouer le grand numéro de l'entame de match.
Nicolas Maillot l'avouait encore vendredi : « C'est sur le rythme que nous avions gagné à l'aller… » C'est sur le rythme que les Castelroussins se firent en effet prendre à la gorge. L'entame était rezéenne et les dégâts causés par Djurdjevic firent croire au pire quand le tableau d'affichage indiqua 14-4 au bout de seulement cinq minutes de jeu. Visiblement, le CBC n'avait pas encore digéré son voyage.

Deux points perdus dans la bataille

Maillot ne tarda donc pas à faire tourner son banc pour donner une bouffée d'oxygène à un cinq de départ englué dans la défense locale. L'entrée de Lamy eut l'effet escompté puisque les Castelroussins ramenèrent l'écart à de plus justes proportions (de 20-9 à 20-16, 8e).
La facture du deuxième quart temps fut en revanche toute différente. Jusqu'à un incident opposant Blévin à Zonzon, en fait. Victime d'une charge du Rezéen, Blévin parvint à faire disjoncter son adversaire. Ce qui n'aurait pu être qu'un détail, désarçonna au bout du compte toute la troupe de Pierre Lusseau, déjà peu en réussite aux lancers francs (9 sur 21 !).
La gnac qu'il avait un temps laissé au vestiaire accompagna enfin le CBC et dans les pas d'un Defoundoux à la nonchalance trompeuse, les Castelroussins raflèrent la mise (18-7) pour repasser en tête à la pause. Incroyable retournement de situation qui ne laissait absolument pas présumer de la suite. Avant de perdre deux points dans la bataille, le CBC creusa l'écart que l'on sait. Pour le voir fondre comme neige au soleil dans la dernière ligne droite, à trop vouloir tenter l'impossible. De fautes idiotes en errements coupables, les Castelroussins virent leur dauphin devenir roi. Définitivement ?

15 janvier 2008

13 janvier 2008

CBC – ADA BLOIS : 86-78



Les Castelroussins ont peiné hier soir
VICTOIRE POUSSIVE (13/01/2008)

L'ADA Blois avait beau n'avoir glané que cinq succès depuis le début de saison, dont quatre contre des équipes du fond de la classe, et s'être incliné de vingt points lors du match aller, il n'en posa pas moins de sérieux problèmes au CBC, hier soir, pour ce premier match de la phase retour.
Peinant à se mettre en action, les Castelroussins réalisèrent une première mi-temps poussive. Lamy et Obouh Fégué, mal réglés à trois points, buttèrent tout d'abord sur une zone agressive. Ce que redoutait d'ailleurs Nicolas Maillot avant la rencontre, conscient des lacunes offensives de son équipe. Et Blois de creuser un premier écart par Pipereau et Dedet (0-4), le temps que la machine berrichonne ne se mette en route (14-8).
Mais la maladresse castelroussine, avec des shoots beaucoup trop précipités et un brin d'agacement, laissa la porte ouverte à Blois, qui remporta même le premier quart (19-20), malgré l'absence de son meneur, suspendu.
Dans le deuxième acte, le CBC trouva plus de solutions à l'intérieur, notamment par l'intermédiaire de Dinga (25-20), mais baissa pavillon en défense, laissant Conquet enfiler deux tirs à trois points consécutivement. Ce fut alors un festival de shoots extérieurs qui permit à Blois de reprendre l'avantage (32-34). Et il fallut un contre rageur d'Obouh Fégué suivi d'un panier à l'arraché de Démeautis pour que les Castelroussins ne remettent les pendules à l'heure. Et creusent un léger écart à la pause (44-38). Le minimum syndical.
Le réveil de Blevin, timide jusque-là, et quelques coups bien sentis d'un Démeautis toujours présent au moment opportun donnèrent un avantage conséquent aux Castelroussins (54-44). Un avantage qu'ils dilapidèrent rapidement. Moins présent au rebond, toujours aussi approximatif dans ses offensives et manquant cruellement de rythme, le CBC se fit reprendre. Une fois de plus. Affoyon, Pipereau et Deslandes donnèrent le tournis à des Castelroussins qui conservèrent l'avantage de justesse à l'entame de la dernière ligne droite (59-58).
Un bon coup de gueule de Nicolas Maillot plus tard, ils se mirent définitivement sur la bonne voie (69-61), profitant de la sortie des 2,03 m de Deslandes pour cinq fautes, et en dépit des réactions de Tshefu et Pipereau (69-67, 78-69, 82-74). L'essentiel était fait. Mais que ce fut pénible.


Thierry Roulliaud
sports.chateauroux@nrco.fr

10 janvier 2008

Blois vs CBC36, recap



Rendez-vous samedi soir pour la 2e phase du championnat.
Go CBC !!!

09 janvier 2008

CBC - TJB : 84-89 Les Castelroussins tombent avec les honneurs



IL LEUR A MANQUÉ SI PEU (06/01/2008)

Nul n'est prophète en son pays. Le CBC le sait bien. On comprend mieux ses réticences à recevoir un pensionnaire de Nationale 2 sur le parquet du gymnase Mondon plutôt que dans son antre de Valère Fourneau où chacun a ses repères. Les joueurs, bien sûr, mais aussi le public.
Pas simple donc, pour les Castelroussins de contenir des Tourangeaux qui avaient déjà effacé leur handicap de sept points après trois minutes. Trois minutes passées à verrouiller le jeu pour empêcher toute velléité adverse et à laisser parler la puissance de Dobekreo

Pourtant, tout au long de cette première période, le CBC ne céda jamais. Certes, Obouh Fégué ou Blévin mirent du temps à trouver la bonne carburation. Mais comme à son habitude, Déméautis les aida à retrouver le bon chemin. Ça ne régla pas le problème Dobekreo, trop souvent oublié dans la raquette, mais ça laissa les Castelroussins dans le sillage immédiat de visiteurs parfois un peu trop arrogants. Berquier, trop présomptueux sur une passe en aveugle, ou Cravenaud qui piégea Niasse en offrant un plongeon de toute beauté, ne diront pas le contraire. Sauf qu'à cette trop grande facilité, le CBC opposa une abnégation qui le fit revenir à 49-47 (19e) avant de relâcher la bride pour avoir trop voulu jouer sur le même registre।

Recadrés par Nicolas Maillot à la pause, les Castelroussins revinrent alors plus entreprenants. Au point de reprendre la main avec Le Tarnec (56-54, 26e) dans un troisième quart temps où l'on vit, un temps, le TJB en perdition. Jusqu'à ce que la troupe de Cortabitarte ne retrouve quelques automatismes et un rythme trop soutenu pour le CBC। A 63-67 à l'entame du dernier sprint, tout restait pourtant possible.

Le TJB crut faire la différence assez rapidement en profitant de la naïveté des locaux. Tschamber leur donna le tournis avant que Defoundoux puis Blévin n'y mettent le hola de belle façon (73-75, 36e). Un rien séparant le fond de classe de N2 de la tête de N3, le CBC se prit alors à rêver, bien aidé en cela par un panier primé de Rajsavong (82-85, 39e)।
Mais pour un rien, deux lancer francs manqués peut-être, le CBC se prit finalement les pieds dans le tapis। Au plus grand soulagement de Kasperzec qui entérina la décision sur un trois points meurtrier…

07 janvier 2008

Photos TJB

Quelques photos du match contre le TJB














































































A vos commentaires.

01 janvier 2008